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Le Village AUTOIRE

Autoire

Logé au creux d’une vallée étroite aux falaises abruptes, ce village occupe un site exceptionnel. Le caractère quercynois est présent à tous les coins de ruelles, on y trouve de magnifiques maisons à colombages, de somptueuses demeures avec tourelles, un manoir du XVe et une église romane remaniée XVIIIe.

Autoire

PRESENTATION

Panaché de tourelles, de toits à la couleur fruitée et de façades blondes, Autoire était autrefois un lieu de villégiature apprécié des notables de Saint-Céré.
Le bourg a conservé tout son caractère. Ses rues dévoilent des demeures à colombages ou à encorbellements, une fontaine ornée de dauphins de bronze, une église au chevet roman (12ème siècle) ainsi que d'élégantes gentilhommières comme le manoir Laroque-Delprat ou le château de la Busquelles.


Le village et ses maisons         Autoire

HISTOIRE

Difficile d'imaginer que le village a été assiégé par les Anglais lors de la guerre de Cent Ans et fut même un repaire de brigands.
En témoignent, accrochés au cirque d'Autoire, les vestiges du « château des Anglais », nid d'aigle utilisé par l'infâme Bernard de la Salle qui rançonna Figeac vers 1371.
Autoire a oublié ce passé tumultueux, nous offrant la beauté de son cadre naturel et la sérénité de ses vieilles pierres qui se dorent au soleil.

Des sites officieux de tourisme pour AUTOIRE

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Manoir Autoire Village Autoire Le village AUTOIRE Cascade Autoire La cascade de la rivière Autoire, au fond du cirque d'une hauteur de 30 m environ (belle balade sous les frondaisons).
 
 
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Beaumont du Périgord

Beaumont du Périgord

Beaumont-du-Périgord (Bèlmont de Perigòrd en occitan) est une commune française, située dans le département de la Dordogne, en région Aquitaine.
Bastide anglaise fondée en 1272 au nom d'Edouard Ier, roi d'Angleterre, par Luc de Thaney, sénéchal de Guyenne. Le plan de la ville est en forme de H, H comme Henri. De la place centrale partent deux rues (rue Foussal et rue Romieu) formant les deux bras du « H ». Sa place centrale est entourée d'arcades appelées « cornières » sur lesquelles donnent les magasins. À côté de la place se trouve la grande église fortifiée dont la taille est démesurée proportionnellement à celle de la ville. Beaumont-du-Périgord possède encore des vestiges de son enceinte fortifiée et une porte médiévale récemment restaurée, la Porte de Luzier.
La commune a porté le nom officiel de Beaumont jusqu'en 2001.

Beaumont du Périgord est situé au Sud-Ouest de la France et au Sud de la Dordogne. C'est un terrain composé de beaucoup de collines avec une forte pente d'où vient le nom Beaumont (comme une belle montée). La place centrale est en haut de toutes ces collines ainsi que l'église.

HISTOIRE

Beaumont-du-Périgord est au départ une bastide anglaise fondée en 1272 par le sénéchal de Guyenne Lucas de Thanay au nom du roi d'Angleterre, Edouard Ier. Elle a été fondée sur des terres données par le prieur de Saint-Avit-Sénieur, l'abbé de Cadouin, et par le seigneur de Biron.
Le 15 novembre 1286, le roi Edouard Ier accorde une charte à la ville de Beaumont. C'est une lettre du roi datée de 1289 qui autorise les consuls à construire une halle sur le côté sud de la place des Cornières. Cette halle est dessinée sur le cadastre de 1840. Elle a été détruite pour cause de vétusté en 1864.
La ville est construite suivant un plan de rues droites se coupant à angles droits. La place centrale est entourée de cornières. Elle a un plan presque rectangulaire mesurant, dans l'enceinte, 338 mètres par 137 mètres. Chaque côté de la place comprenait 4 maisons dont le premier étage s'avance sur la place grâce à des piliers formant des porches ou cornières.
L'enceinte de la ville est construite en 1320. C'est vers 1330-1350 que commence la construction de l'église Saint-Laurent-et-Saint-Front placée à côté de l'angle nord-est de la place centrale.
La ville est prise en 1442 par Pierre de Beaufort, vicomte de Turenne.
Louis XI confirme en 1461 la charte aux habitants de la bastide.
En 1561, premier siège de la bastide par les Huguenots.
siège de la bastide par les Protestants en 1575.
siège de la bastide en 1576. La ville est finalement prise le 5 février 1576, par les Protestants commandés par le capitaine Camppagnac de Rufen. Après la signature d'un traité de paix, la ville revient aux Catholiques.
Au XVIIIe siècle, la ville perd ses remparts. Le mur d'enceinte est vendu aux riverains qui l'abattent ou y adossent leurs maisons. Il n'en reste que la porte de Luziès, des parties de murs et une tour.
siège de la ville et sa prise le 13 novembre 1585 par le capitaine huguenot Panissaut.
En 1596, le roi Henri IV cède ses droits et revenus sur le comté de Beaumont. Mécontentement des habitants.
Les Beaumontois rachètent en 1605 cette aliénation au profit du roi.
En 1643, le droits et revenus du comté sont cédés pour 3 780 livres au nom du roi Louis XIV au sieur Jean-Jacques de Bergues. Les Beaumontois rachètent de nouveau cette aliénation.
En 1643, la seigneurie de Beaumont est donnée en engagement par le roi Louis XIII, pour la somme de 7 563 livres, au duc de Bouillon, qui a possédé la ville et le comté de Beaumont comme engagiste du roi.
Le 20 mars 1651, le roi Louis XIV, « pour le bien de son état et pour mettre à couvert la frontière de Champagne, suivant la résolution du défunt roy son père Louis XIII » a acquis les principautés de Sedan et de Raucourt avec toutes leurs appartenances et dépendances en échange d'un grand nombre de territoires, dont la ville et le comté de Beaumont.
En 1707 commence la construction du couvent des Dames de la Foy. Il ne sera terminé qu'après 1740.
1733, le comté de Beaumont fait partie des biens de la famille de Beaumont. En 1733, la duchesse de Bouillon vend le comté de Beaumont au président d'Augeard
En 1763, Jean de Paty, seigneur de Lusies, achète le comté de Beumont à la veuve d'Augeard pour 20 000 livres.
1763 et 1782, plusieurs conflits vont exister entre Jean de Paty et Charles de Montsec, Ier consul de la ville de Beaumont.
En 1782, Jacques de Belerd devient Ier consul, assisté de Louis Ters et des sieurs Redon et Tinet.
hôpital est construit à partir de 1789, mais le second étage est resté inachevé.
En 1790, la commune de Bannes fusionne avec celle de Beaumont.
Avant le décret du 1er février 2001, la commune s'appelait Beaumont.

Lieux et Monuments

Beaumont du Périgord    Eglise de Bannes    Place de Beaumont du Périgord Beaumont du Périgord

De son passé de bastide, Beaumont-de-Périgord a gardé de nombreuses traces. Pierre Garrigou-Grandchamp, dans son article sur "L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIe et XVe siècles" (Congrès archéologique de France, Monuments en Périgord, 1979, Société Française d'Archéologie) décrit succinctement 43 maisons construites pendant ces siècles et dont on peut encore trouver des traces malgré les reconstructions.
En dehors des 7 maisons à cornières qui subsistent sur la place centrale, actuelle place Jean-Moulin, un ensemble de maisons peut se voir entre les rues Ratier et Féliciane. Ces dernières maisons se découvrent le long de la rue Féliciane avec des façades en mur-pignon qui peut laisser penser qu'elles pouvaient jouer le rôle de deuxième défense après les remparts dont elles sont séparées par les lices. Sur la rue Ratier, certaines ont conservé au rez-de-chaussée les baies ogivales qui permettaient leurs activités commerciales.
   * Eglise Saint-Laurent-et-Saint-Front du XIIIe siècle et XIVe siècle, classée.
   * Couvent des Dames de la Foi14, actuelle maion de retraite, construite à partir de 1707. La chapelle est ouverte en 1712, mais le bâtiment n'est terminé qu'en 1740. Pour permettre l'achèvement des travaux, la fondatrice, Mademoiselle de Lagorce, a acheté une partie de l'enceinte de la ville
   * Ancien hôpital, actuellement, la mairie :
C'est en 1771 que l'abbé Geneste acquiert une maison au "puissant seigneur" messire Jean Jérosme de Saint-Hilaire, chevalier, seigneur dudit Saint-Hilaire et de Ferrière,Louis XV donne des lettres patentes pour l'Hospice de Beaumont en 1772,L'abbé Geneste lègue sa maison à l'hospice de Beaumont en 1773,
En 1778, Louis Ters, maître en chirurgie, premier consul de Beaumont entreprend la construction du nouvel hospice,L'hospice est ouvert au début de 1789 alors que le second étage est non achevé. La chapelle qui devait être construite contre le mur nord ne l'a pas été. Il fonctionne grâce à une donation faite par 22 donateurs de 33 799 livres qui donne une rente annuelle de 1 689 livres.
En 1818, l'hospice est déplacé dans l'ancien couvent des Dames e la Foi, actuelle maison de retraite. On installe alors dans le bâtiment :
- côté nord : la mairie, l'école, la justice et une prison,
- côté sud : le logement pour l'instituteur, puis, après 1840, le presbytère.
Une nouvelle porte donnant accès au couloir de la mairie est ouverte en 1840.
   * Porte de Luzier ou de Lusies, fin XIIIe - début XIVe siècles, seule porte subsistante des fortifications de la ville. Une tour peut se voir au nord-ouest. Des traces de l'enceinte sont visibles dans les murs de certaines maisons.
  Cimetière mérovingien dont plusieurs tombes sont composées de sarcophages en pierre. Certains sont visibles depuis la route qui mène de la D25 au Moulin de la justice (lieu-dit Capy)
  Château de Bannes, XVe siècle, XVIe siècle, classé
   * Église Saint-Martin de Bannes
   * Château de Luzier, XVIIe siècle, XVIIIe siècle, classé
   * Chapelle Notre-Dame de Belpech, édifiée au XIIe siècle et agrandie au XIIIe siècle.

Beaumont du Périgord   Beaumont du Périgord   Beaumont du Périgord

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Beaumont du Périgord   Beaumont du Périgord   Beaumont du Périgord   Beaumont du Périgord

Personnalités liées à la commune

   * Gabriel Aimé Robert Joubert (1898-1944), instituteur à Beaumont engagé dans la résistance, arrêté le 20 décembre 1943, déporté le 22 janvier 1944 au départ de Compiègne à destination de Buchenwald. Mort en déportation à Buchenwald le 16 septembre 1944.
   * Léo Testut (1849-1925), médecin et anatomiste français, qui a réalisé une étude historique et archéologique de la bastide de Beaumont.

     
 
 

COLLONGE LA ROUGE

La terre rouge de la région, dite « terre de Collonges », se prête admirablement au travail de la poterie.

19  Collonge La Rouge

HISTOIRE

Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.
Collonges traverse les guerres religions, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 - qui entraine la fin de ses privilèges fiscaux - puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du XIXe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.
Au début du XXe siècle, quelques Collongeois créèrent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.
En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge.

LIEUX et MONUMENTS

19  Collonge

Collonge La Rouge Le village de Collonges est construit tout en grès rouge (qui donne une partie de son nom) contrastant avec le vert des châtaigniers et des vignes environnants ; il est connu dès le VIIIe siècle par un don du comte de Limoges de l'église de la paroisse au monastère de Charroux. Le village fait partie de l'association des plus beaux villages de France (c'est Charles Ceyrac, maire de Collonges de 1965 à 1996 qui a créé l'association en 1982, il est le premier classé sur la Liste des Plus Beaux Villages de France), c'est le site le plus visité du Limousin.

Architecture civile

La halle date des XVIe et XVIIe siècles. Le passage couvert est inscrit aux monuments historiques.

Bâtiments d’habitation

Maison de la Sirène la maison de la Sirène (siège de l'association des Amis de Collonges) : elle possède une toiture en lauzes à grès rouge, un porche voûté, une fenêtre à accolade qui surplombe une porte gothique à droite de laquelle une sirène sculptée tient un peigne et un miroir. Elle date du XVIe siècle.Elle est classée monument historique ;Un timbre postal, d'une valeur de 3,00 francs, représentant la Maison de la Sirène a été émis le 3 juillet 1982.
le prieuré, construit au XVIe siècle, est inscrit aux monuments historiques depuis le 4 janvier 1951 pour sa façade avec balcon sur consoles et ses toitures ;
l’ancienne maison des sœurs, construite au XVIe siècle, est inscrite aux monuments historiques le 4 janvier 1951 (façade avec balcons sur demi-berceaux et toiture) ;
Rue de la Barrière :
* la maison Bonyt date du XVIe siècle, et est inscrite aux monuments historiques, notamment pour sa façade, sa toiture, et l’escalier à vis
* la maison Boutang du Peyrat, avec des parties des XVe, XVIe et XVIIe siècles, est inscrites aux monuments historiques. Les éléments protégés sont une fenêtre qui a conservé sa menuiserie d’époque Louis XIII, la porte d’entrée du XVIIe siècle, une cheminée en bois avec une frise peinte, ainsi que la façade et les toitures ;
* la maison Julliot, datant du XVIe siècle (une pierre est datée 1803), est inscrite aux monuments historiques, pour sa façade, sa toiture, et le perron ;
* la maison Dey, située place de la Fontaine, est inscrite aux monuments historiques (notamment pour son escalier dont les paliers sont en pierre rouge) ;
* une maison située place de la Halle, date du XVIe et du XVIIIe siècle. Sa façade, sa loggia et ses toitures sont inscrites aux monuments historiques.
* La maison Poignet possède une fenêtre du XVIIe siècle, classée monument historique.
* La maison Salvant et Vallat est également inscrite aux monuments historiques.

Bâtiments officiels

* l’ancien tribunal de la Châtellerie (XVIe siècle), est classé monument historique depuis le 13 décembre 1978 ;
* l’ancienne mairie (parties des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles), est inscrite aux monuments historiques depuis le 4 janvier 1951, pour la façade, la toiture, et la cheminée en pierre de taille

Les châteaux, hôtels et maisons nobles

* le manoir de Vassinhac XIVe siècle[réf. nécessaire] et XVIe siècle, dont les propriétaires furent gouverneurs et capitaines du château de Turenne : il possède quelques éléments de fortification, et est classé monument historique ;
* le château ou hôtel du Friac ou de Beaurival (hôtel de Beaurival) : du XVe siècle, classé monument historique le 17 décembre 1926 ;
* le château de Benge, parties du XVIe et du XVIIIe siècle, classé monument historique par les arrêtés du 23 septembre 1953 et du 18 mars 1954 ;
* le castel Maussac, des XVe et XVIe siècles, est inscrit comme monument historique depuis le 17 décembre 1926 ;
* le château du Breuil ;
* le château du Martret, parties des XVIe et XIXe siècles, classé monument historique ;
* le manoir de Beauvirie, qui date du XVIe siècle et est inscrit aux monuments historiques ;
* le château de Beauregard, du XVe siècle, est inscrit monument historique depuis le 17 décembre 1926.

St Pierre   Clocher Eglise St Pierre   Portail Eglise St Pierre

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Une rue à Collonge La Rouge   Une autre rue à Collonge La Rouge   Tourelles   La place de Collonge La Rouge   Vue de l'église sous un porche   Castel de Vassinhac   Castel de Vassinhac

Castel de Vassinhac et l'église   Vue arrière de l'église   Maison Ramade de la Serre

Architecture militaire

L’enceinte fortifiée date du XIVe siècle : les portes de l’ancien prieuré et de l’église sont respectivement inscrites et classées monuments historiques.

Art Religieux

L’église Saint-Pierre, datant des XIe, XIIe et XVe siècles, avec son clocher roman à galbes (l'un des plus anciens du Limousin), fut fortifiée lors des guerres de religion au XVIe siècle. Elle possède un remarquable portail orné d'un tympan en pierre blanche (alors que toute la ville est rouge). Il représente l'ascension du Christ. Celui-ci domine sa mère et les 11 apôtres ; il a été sculpté au XIIe siècle. Il fut caché pendant les guerres de religion, et remis en place seulement en 1923.
On pénètre d'abord dans une nef de style roman, très dépouillée, nef qui avait été allouée aux protestants par Turenne. La nef de gauche, de style gothique et éclairée par des vitraux est celle affectée au culte catholique. L’autel principal, peint en bleu et doré, est constitué d’un autel du XIXe, d’un gradin en partie du XVIIe siècle, d’un tabernacle du siècle suivant, et d’un retable reconstitué au XIXe siècle avec des éléments des deux siècles précédents. Il est classé en 1978 et restauré en 1984-198540.
L’autel de la chapelle sud, son gradin, son tabernacle et le retable, en bois sculpté et doré, représentant la Passion, date du XVIIe siècle ; il est inscrit comme monument historique.
Une clôture de chapelle en bois sculpté et ajourée, avec portillon central, datant de la fin du XVIIe siècle ou des années 1700, et ornée de coquilles, rinceaux, volutes, feuilles d’acanthe et atlantes ; elle est inscrite.
La statue de bois du Christ gisant date du XVIe siècle : elle a été retrouvée dans une haie en 1971. Elle est inscrite aux monuments historiques, en même temps que la Vierge de Pitié en bois doré et peint, datant du XVIIe ou du XVIIIe siècle, la Vierge à l’Enfant (Notre-Dame-de-Collonges ou des Victoires, XVIIIe siècle). Un Christ en croix, en bois sculpté, sur une croix rapportée, date du XVIIe siècle ; il est inscrit. L’église est classée monument historique depuis le 4 avril 1905.

Personnalités liées à la commune

L'acteur Maurice Biraud est enterré à Collonges-la-Rouge.

 
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BIRON et son Château

Biron

Biron est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Aquitaine, entre le Périgord et l'Agenais.
C'est le siège de l'une des quatre anciennes baronnies du Périgord.
En 1991, en même temps que les communes voisines de Monpazier et Capdrot, la commune de Biron a été inscrite, à l'initiative du ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, dans une opération « Grand site national », dans le cadre d'une politique de gestion durable du patrimoine liée au développement local, afin de préserver et de mettre en valeur son patrimoine architectural et urbain unique.
En 2010, Biron ne figure plus parmi les 34 Grands sites du territoire français.

Biron

PRESENTATION

Situé dans la vallée de la Lède, dans le Périgord pourpre, il était le siège de l'une des quatre baronnies du Périgord, avec Beynac, Bourdeilles et Mareuil.
Il fut la propriété de la famille de Gontaut-Biron qui acquit par alliance la baronnie de Biron au XIIe siècle, avant d'être pris par les Albigeois en 1211, par Simon IV de Montfort en 1212, qui exécuta son seigneur, et par les Anglais aux XIVe et XVe siècles qui le saccagèrent.
Il fut érigé en duché-pairie en 1598.
Quatre ans après, Charles de Gontaut, duc de Biron, convaincu d'une nouvelle conspiration contre son roi et son pays et jugé coupable de haute trahison, fut décapité dans la cour de la Bastille à Paris (13/07/1602). Son orgueil et son suicidaire entêtement à ne pas reconnaître devant Henri IV son ultime trahison aurait inspiré l'expression populaire "Etre c... comme Biron".
Les Gontaut-Biron comptèrent quatre maréchaux et cinq ducs et pairs de France, dont Armand-Louis, duc de Lauzun, qui combattit avec La Fayette en Amérique, prit part aux États généraux de 1789 et fut guillotiné à Paris en 1793.
Du XIIe au XVIIIe siècle, chaque siècle a laissé son empreinte, évoquant les vicissitudes de cet édifice monumental :
 * donjon du XIIe siècle,
 * chapelle à double étage (1515), a conservé les tombeaux de Pons de Gontaut, baron de Biron, mort en 1524, et de son frère Armand, évêque de Sarlat, mort en 1531; les têtes des gisants ont été martelées ;
   1- cour ouverte sur le Nord par une très grande arcade en plein cintre donnant accès à une terrasse couverte à colonnes jumelées et fermée par une balustrade en fer forgé donnant sur un énorme escalier inachevé (début XVIIIe siècle ?);
 * appartements de la Renaissance;
   1- grand escalier de pierre à rampe en fer forgé ;
   2- salle de justice à l'Ouest;
 * importantes cuisines voûtées à l'Est, avec citernes;
 * La "Salle des États de Guyenne", longue de vingt mètres sur onze.


Le Château et son village De cette incroyable juxtaposition de bâtiments résulte un ensemble architectural exceptionnel, d'un attrait tout particulier.
De 1883 à 1939 la demeure appartint par héritage au grand collectionneur Guillaume de Gontaut, marquis de Biron - issu des cadets de la famille qui posséda, entre autres, un ensemble de dessins de Tiepolo, vendus depuis à un musée américain. Malgré la légende, il n'a pas donné son nom au prestigieux marché d'antiquités des "Puces" de Paris.
Jusqu'à la fin du XIXe siècle la chapelle castrale comptait deux œuvres d'art, des groupes sculptés, le Christ mort sur les genoux de la Vierge, "dressé en retable au-dessus de l'autel", l'autre, une Descente de Croix - dont un surmoulage en terre cuite était dit dans une chapelle de Verdelais - qui ont quitté les lieux et sont "au moins depuis 1914" (Chapoullié, 1954) au Metropolitan Museum de New-York.
En 1959 y fut tourné en partie le Capitan un film d' André Hunebelle avec Jean Marais et Bourvil.
En 1978 le département reçoit en don de son dernier propriétaire - ou acquiert ? - un château en très mauvais état 3 en vue de le restaurer.
C'est pourquoi, dans le cadre de l'Association des Amis du Château de Biron créée en 1980, Béatrice Gonzalez de Andia, arrière-petite-fille de Marie Gontaut-Biron et d'Archambaud de Talleyrand-Périgord, ancienne condisciple de Jacques et Bernadette Chirac à "Sciences-Po" Paris, puis déléguée générale à l'Action Artistique de la Ville de Paris, s'impliqua dans un projet de sauvetage de la demeure. Amie de l'architecte en chef des Monuments Historiques compétent, elle soumit en 1981 un solide dossier à Jack Lang, nouveau ministre de la Culture, et obtint rapidement les crédits nécessaires pour procéder aux réparations les plus urgentes du manoir. En 1994 y fut tourné le film La Fille de d'Artagnan avec Sophie Marceau et Philippe Noiret.
En 2012 ont commencé des travaux de rénovation de la charpente de l'aile des Maréchaux, prévus pour une durée de deux ans et un coût de 2,3 millions d'euros.

Le Château et le village de Biron

HISTOIRE

Elle est connue par son château des XIIe et XVIIIe siècles, classé monument historique.
Siège de l'une des quatre baronnies du Périgord, le château occupe une position stratégique à la lisière du Périgord et de l'Agenais.
Son histoire est liée à la grandeur d'une famille, les Gontaut-Biron, qui tint le fief durant huit cents ans.
À sa création en 1790, la commune porte d'abord le nom de Notre-Dame-de-Biron puis au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), celui de Mont-Rouge, avant de s'appeler Biron.
En 1827, le territoire de la commune de Biron s'agrandit par le rattachement des anciennes communes de Saint-Michel-de-Biron, Bertis-de-Biron, Saint-Cernin-de-Biron et Vergt-de-Biron, ces trois dernières formant en 1840 une nouvelle commune indépendante appelée Vergt-de-Biron.

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La tour Du Roi

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Beaumont du Périgord

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Village de Beaumont du Périgord

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Terrasson Lavilledieu

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Collonge La Rouge

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Village de Collonge La Rouge

Monflanquin

Monflanquin

Le village médiévale de Monflanquin

Blog du site MSOF, info & photos Pyrénées

Bonjour chers lecteurs,

Ce site présente la région du Sud-Ouest de notre belle France, la Nouvelle-Aquitaine.

Vous avez l'opportunité de souscrire au FORUM pour bloguer de deux manières :

  1. soit par les blogs personnels, il faut s'inscrire au Forum pour accéder à votre compte blogueur.
  2. soit par le site Mon Sud Ouest France, comme cet exemple... vous vous inscrivez au Forum et vous demandez à participer au développement du site Mon Sud Ouest France .com
  3. ou alors, vous vous inscrivez au Forum pour participer aux dialogues entre membres et à l'activité du site.

Vous avez ci-dessous deux magnifiques photos des Pyrénées. Photos de membres de ''Pyrénées balades & randonnées''

 photo des Pyrénées

photo des Pyrénées

Ce Blog exemple vous montre la ou les solution(s) que vous pouvez acquérir dans ce site Mon Sud Ouest France.

Ceci est totalement bénévole, le plaisir de partager et dialoguer entre membres dévoués et passionnés ^^

Ci-dessous est présenté en bande photo (Château de Bonaguil, Village de Monflanquin, Les Pyrénées)

bande photos Sud Ouest France

 

Alors, bienvenue sur le site, les blogs du site, chez les bloggeurs ainsi qu'au Forum MSOF ! ^^ 

Bien cordialement, amusez-vous bien !

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    • article utilisateur Michel Michel (catégorie utilisateurs)

          La Nouvelle-Aquitaine Découvrez les départements, la nature et la faune de la Région Nouvelle-Aquitaine, qui est riche de magnifiques forêts, de lagune comme l'exemple ci-dessous, d'étangs et de lacs ... et tant d'autres ...     LAGUNE DES LANDES    de la part de Michel

      Lire la suite : article utilisateur Michel

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