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CHÂTEAU BONAGUIL.


Un monument historique unique !

Le château de Bonaguil est situé en France, sur la commune de Saint-Front-sur-Lémance en Lot-et-Garonne à la charnière du Périgord et du Quercy, mais il est la propriété de la commune de Fumel. Le château est classé Monument historique le 18 avril 1914, la chapelle le 12 avril 1963. Le Château de Bonaguil est un des derniers châteaux forts construits. Il est bâti sur un éperon calcaire qui domine d'une trentaine de mètres le confluent de deux étroites vallées, sur un affluent de la Thèze, appelé de trois noms : le ruisseau de Caupenne, la Petite Thèze et le ruisseau de Bonaguil. Il présente la particularité de ne pas être sur une position : le château ne défend pas une ville, ni le passage d'un fleuve, ni une vallée importante ou une route commerciale. Sa construction débute au XIIIe siècle, puis il est entièrement repris à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle par le baron Bérenger de Roquefeuil qui lui ajoute tous les perfectionnements défensifs du Moyen Âge finissant. Il intègre à partir de 1480 les derniers perfectionnements de la défense au moyen de l'artillerie tant pour utiliser celle-ci que pour s'en prémunir : imposante barbacane couvrant l'accès au château, canonnières par dizaines tant dans les tours que dans les courtines, chambres de tir casematées (« voûtées ») à l'abri des boulets adverses et permettant des feux bas et rasants, « moineau » casematé interdisant toute circulation au fond du grand fossé, terrasses d'étartillerieagées au pied du corps de place qui constituant autant d'enceintes successives à forcer, aménagement à des fins défensives d'une grotte naturelle située sous l'éperon rocheux. À son achèvement vers 1510, il apparaît cependant obsolète. En effet, à cette époque du début de la Renaissance, les grandes familles nobles ainsi que le roi et ses proches commencent à construire les premiers châteaux de la Loire et, dans tout le royaume, de nombreuses forteresses médiévales de la petite et moyenne aristocratie, même si elles conservent quelques dispositifs défensifs, sont peu à peu transformés en résidences d'agrément par abattage d'une partie des tours et des courtines afin de les ouvrir sur la lumière et la campagne. Hormis la perte de ses charpentes pendant la Révolution française, le château de Bonaguil est aujourd'hui dans un bon état de conservation. Il n'eut jamais à subir d'attaque et fut habité jusqu'à la Révolution.


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Monflanquin

Située sur une colline surplombant la vallée de la Lède, à la frontière du Périgord, du Quercy et de la Guyenne, Monflanquin est classé parmi les plus beaux villages de France.

47 Monflanquin

HISTOIRE

En 1252, Guillaume Amanieu, seigneur de Calviac, cède la montagne de Monflanquin à Alphonse de Poitiers. Ce dernier et fonde une Bastide du XIIIe siècle. L'accord donne lieu à un contrat qui prévoit un partage des revenus de la nouvelle ville entre les deux partenaires. En 1256, Alphonse de Poitiers commence la fondation de la bastide. En 1269, la charte de fondation est confirmée. À la mort d'Alphonse de Poitiers après son épouse, Jeanne de Toulouse, fille de Raymond VII, sans héritier, ses terres entrent dans le domaine royal de Philippe III. En 1279, Monflanquin devient un des douze bailliages de l'Agenais. L'archevêque de Bordeaux, Bertrand de Got, rend visite à la ville en 1304. Il est élu pape l'année suivante sous le nom de Clément V. La bastide étant passée dans la mouvance anglaise, le roi Édouard III confirme les privilèges de la ville en 1318. En 1374, les habitants de Monflanquin incluent l'armée du roi de France qui se dirige vers Tonneins pour chasser les Anglais de l'Agenais. Le 31 août 1574, Guy de Montferrand1, seigneur de Langoiran, Gouverneur du Périgord "pour ceux de la religion réformée" et Geoffroy de Vivans prirent avec leurs 2000 hommes la ville et firent prisonniers 125 gentilshommes. Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Lieux et Monuments

47 Saint André

  • * L'Église Saint-André : L'église a été fondée entre 1250 et 1290. Elle a conservé de cette époque la base de ses murs et le portail. Elle faisait partie de l'enceinte de la ville aussi son chevet était-il fortifié. Les voûtes de la nef s'étant efffondrées, l'église est restaurée en 1715, le chevet est repris. Les voûtes sont reconstruites en 1864. Le clocher prend son aspect fortifié en 1923. Le chevet est ajouré pour y placer des vitraux. L'église a été classée Monument historique le 16 juillet 1925.
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* La maison dite du Prince Noir sur la place Foch, construite au XIVe siècle. Le prince Noir, qui a battu le roi Jean II le Bon à la bataille de Poitiers, y aurait séjourné.
* Le Château de Roquefère. Le château a été acheté en 1280 par Jean Ier de Grailly, sénéchal de Gascogne et d'Agenais, à Hugues de Castelmoron. Le 7 juillet 1305, Bertrand de Got, archevêque de Bordeaux, couche au château. Jean de Grailly cède la seigneurie de Roquefère avec le château à Jean Chandos, sa vie durant, à condition que la seigneurie lui revienne ou à ses héritiers après sa mort. À la mort de Jean de Grailly, en 1376, sans enfant, le château devient l'enjeu d'un long conflit entre la famille Hébrard et la famille de Blanche de Foix, mère de Jean de Grailly. À la mort de Jean Chandos, Jean et Jacmet Hébrard et Guillon de La Martinie avaient pris possession du château sans droit. En 1470, par décision de Charles, duc de Guyenne, le château redevient la propriété de Jean de Foix, comte de Caudale, captal de Buch, fils de Gaston de Foix, avait cédé à Jean Chandos, à la condition qu'il revienne à sa mort. Sa fille se marie avec Jacques de Chaussade et prend possession de la seigneurie en 1495 par arrêt du parlement de Bordeaux. Par mariage, dans la première moitié du XVIe siècle, le château entre dans la famille de La Mothe. Jean II de Rochefort, marquis de Théobon (le château de Théobon se trouve dans la commune de Loubès-Bernac), captal de Puychagut, seigneur de Monneins, Courouneau (le château se trouve dans la commune de Margueron), ... se marie le 8 décembre 1637 avec Anne de La Mothe, dame de Roquefère et de Lespinassat. Il est lieutenant-général de l'armée de Condé en Guyenne. Il fait du château de Roquefère une base des opérations de l'armée du prince de Condé pendant la Fronde. Louis Pons, marié à Guyonne de Rochefort, vend le château à Jean Fournie Gorre, médecin du duc d'Orléans, natif de Monflanquin. En 1781, le château appartient à Charles Raymond de Berail.
Monflanquin

  La maison du Prince Noir

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La place Foch  Une rue de Monflanquin  

Personnalités liées à la commune

* Pierre Saint-Amant, joueur d'échecs du XIXe siècle.
*Irène Lagut, peintre.
* Jean Henri Becays Ferrand, général de la Révolution française, dont le nom est gravé sous l'Arc de triomphe de l'Étoile (4e colonne).
* Peggy Zlotkowski, miss France 1989.
* Pascal Portes, joueur de tennis professionnel, demi-finaliste de la Coupe Davis en 1980.